24 février 2008
plage
C'était presque nécessaire, il nous fallait nous aérer, ne serait-ce le temps d'une journée. Et ce, même si le ciel était gris et bas. Aller voir la mer, l'écouter, enfoncer nos mains dans le sable, marcher, se baisser pour ramasser des coquillages et les glisser dans notre poche. Oublier que nous avons un peu froid pour savourer ces quelques heures.
Nous en avions tous un peu besoin.
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