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le tourbillon de la vie

21 novembre 2017

Des nouvelles de la Cabane à Eugène

 

Face à la morosité ambiante...

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19 mars 2015

PARIS, ses quartiers

Les mois filent et ce blog ne bouge pas beaucoup ! Pourtant je vois qu'il continue à être visité...Alors je ne promets pas de publier un post tous les mois mais juste de donner signe de vie de temps en temps !

La Cabane à Eugène a fêté ses 2 ans et c'est une belle aventure que je vais m'efforcer de poursuivre et de développer. Récemment, nous nous sommes penchés sur les quartiers de Paris...

Ces 2 affiches sont disponibles sur le site : http://lacabaneaeugene.bigcartel.com

Et si vous avez la chance de bruncher ou déjeuner chez Maison Bastille , vous pourrez les retrouver en version carte postale :-)

PARIS_marais_cadre

bastoche_2

 

CP MaisonBastille

 

29 mai 2013

Apple

 

 

 

Notre notre cabane, nous avons maintenant de jolies pommes...

On en mange tous les jours (des Jubilés et des Elstars, les meilleures!) et c'est tant mieux !

Parce qu'en plus d'être très esthétiques, c'est un fruit merveilleux dont on oublie souvent les innombrables vertues, on avait envie d'en accrocher une au-dessus de la table de la cuisine.

MANGEZ DES POMMES !!

apple#1

 

 

 

2 mars 2013

Ici, c'est MA chambre !

 

 

 

Dans les règles de la maison, il était question d'être respecteux...

Alors Eugène n'a pas manqué de nous rappeler qu'il fallait également l'être dans SA chambre, son univers.

Je crois qu'il a raison ; et tant pis si c'est le bazar, laissons-le partir à l'aventure, défendre sa forteresse et sauver le monde.

Lacabane-chambre2-1

 

chambre_hd

cabane

 

 

 

 

10 février 2013

La Cabane à Eugène...

 

 

 

Depuis quelques jours, nous construisons...Aujourd'hui, nous avons posé la porte et nous vous l'ouvrons.
Bienvenue dans La Cabane à Eugène :) !!

http://lacabaneaeugene.bigcartel.com/

 

300

 

 

 

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17 janvier 2013

new home#2 Cohabiter

 Quelques principes de bases,

sur la porte de la cuisine

histoire de méditer

dès potron minet...

home rules

 

 

EDIT / L'idée est fortement inspiré d'un équivalent en anglais "home rules" que j'ai croisé sur pinterest. Nous l'avons traduit grosso modo, remis en page et imprimé sur sticker noir grand format aux dimensions de notre porte. Après suppression des parties prédécoupées en surplus (autour des lettres) nous l'avons posé avec de l'application tape.

 

 

 

 

13 décembre 2012

new home#1 Le rêve d'Alice...

Deux mois de restauration.

Un salon aux murs stone blue.

Un miroir qui appartenait à Mamita et qui me fascinait de par ses dimensions quand j'étais enfant...

 

salon#1

(...)

Prends cette histoire, chère Alice!

Place-la, de ta douce main,

Là où les rêves de l’Enfance

Reposent, lorsqu’ils ont pris fin,

Comme des guirlandes fanées

Cueillies en un pays lointain.

8 février 2011

Un an ? Déjà ?Je vous épargnerai le récit de

Un an ? Déjà ?
Je vous épargnerai le récit de l'année 2010 avec son lot de joies, de peines, et toutes les questions que l'on persiste à se poser, à s'imposer...
Quoi qu'il en soit, aujourd'hui, j'avais envie d'écrire un petit billet tant l'article que j'ai récemment lu m'a enthousiasmé. Il a été écrit par Fred Vargas, écrivain, historienne, archéologue et  résume grosso modo l'état de la planète et ce qui nous attend dans les années à venir... tout ceci avec légèreté, évidence et non sans un certain humour !
"Franchement, on s'est bien marré!"

❝Nous y voilà, nous y sommes. Depuis cinquante ans que cette tourmente menace dans les hauts-fourneaux de l'incurie de l'humanité, nous y sommes.
Dans le mur, au bord du gouffre, comme seul l'homme sait le faire avec brio, qui ne perçoit la réalité que lorsqu'elle lui fait mal. Telle notre bonne vieille cigale à qui nous prêtons nos qualités d'insouciance.
Nous avons chanté, dansé.
Quand je dis «  nous », entendons un quart de l'humanité tandis que le reste était à la peine.
Nous avons construit la vie meilleure, nous avons jeté nos pesticides à l'eau, nos fumées dans l'air, nous avons conduit trois voitures, nous avons vidé les mines, nous avons mangé des fraises du bout monde, nous avons voyagé en tous sens, nous avons éclairé les nuits, nous avons chaussé des tennis qui clignotent quand on marche, nous avons grossi, nous avons mouillé le désert, acidifié la pluie, créé des clones, franchement on peut dire qu'on s'est bien amusés.
On a réussi des trucs carrément épatants, très difficiles, comme faire fondre la banquise, glisser des bestioles génétiquement modifiées sous la terre, déplacer le Gulf Stream, détruire un tiers des espèces vivantes, faire péter l'atome, enfoncer des déchets radioactifs dans le sol, ni vu ni connu.
Franchement on s'est marrés.
Franchement on a bien profité.
Et on aimerait bien continuer, tant il va de soi qu'il est plus rigolo de sauter dans un avion avec des tennis lumineuses que de biner des pommes de terre.
Certes.
Mais nous y sommes.
A la Troisième Révolution.
Qui a ceci de très différent des deux premières (la Révolution néolithique et la Révolution industrielle, pour mémoire) qu'on ne l'a pas choisie.
« On est obligés de la faire, la Troisième Révolution ? » demanderont quelques esprits réticents et chagrins.
Oui.
On n'a pas le choix, elle a déjà commencé, elle ne nous a pas demandé notre avis.
C'est la mère Nature qui l'a décidé, après nous avoir aimablement laissés jouer avec elle depuis des décennies.
La mère Nature, épuisée, souillée, exsangue, nous ferme les robinets.
De pétrole, de gaz, d'uranium, d'air, d'eau.
Son ultimatum est clair et sans pitié :
Sauvez-moi, ou crevez avec moi (à l'exception des fourmis et des araignées qui nous survivront, car très résistantes, et d'ailleurs peu portées sur la danse).
Sauvez-moi, ou crevez avec moi.
Evidemment, dit comme ça, on comprend qu'on n'a pas le choix, on s'exécute illico et, même, si on a le temps, on s'excuse, affolés et honteux.
D'aucuns, un brin rêveurs, tentent d'obtenir un délai, de s'amuser encore avec la croissance.
Peine perdue.
Il y a du boulot, plus que l'humanité n'en eut jamais.
Nettoyer le ciel, laver l'eau, décrasser la terre, abandonner sa voiture, figer le nucléaire, ramasser les ours blancs, éteindre en partant, veiller à la paix, contenir l'avidité, trouver des fraises à côté de chez soi, ne pas sortir la nuit pour les cueillir toutes, en laisser au voisin, relancer la marine à voile, laisser le charbon là où il est, (attention, ne nous laissons pas tenter, laissons ce charbon tranquille) récupérer le crottin, pisser dans les champs (pour le phosphore, on n'en a plus, on a tout pris dans les mines, on s'est quand même bien marrés).
S'efforcer. Réfléchir, même.
Et, sans vouloir offenser avec un terme tombé en désuétude, être solidaire.
Avec le voisin, avec l'Europe, avec le monde.
Colossal programme que celui de la Troisième Révolution.
Pas d'échappatoire, allons-y.
Encore qu'il faut noter que récupérer du crottin, et tous ceux qui l'ont fait le savent, est une activité foncièrement satisfaisante.
Qui n'empêche en rien de danser le soir venu, ce n'est pas incompatible.
A condition que la paix soit là, à condition que nous contenions le retour de la barbarie, une autre des grandes spécialités de l'homme, sa plus aboutie peut être.
A ce prix, nous réussirons la Troisième révolution.
A ce prix nous danserons, autrement sans doute, mais nous danserons encore.❞

21 février 2010

Happy Sunday Evening

Une journée dans le Perche, chez Dady et l'on retrouve le temps et le plaisir de marcher ensemble à travers les chemins, de regarder le paysage encore endormi dans l'hiver : la lumière n'est plus tout à fait la même ; elle semble plus rose.
J'ai observé les enfants courir, se rouler dans l'herbe, sauter, donner à manger à la jument, se cacher dans les fossés, chercher les poissons dans les mares, et prendre les mains de leurs très jeunes oncle et tante. Je me suis souvenu qu'il y a quinze ans, j'avais leur âge, qu'eux avaient celui de mes enfants et que nous empruntions ce même sentier...je me suis souvenu qu'il y a trente ans, j'avais l'âge d'Eugène, et que par ce même sentier, j'accompagnais Manée pour aller jusqu'à la petite source.
Voilà un dimanche qui clôt les vacances d'hiver d'une bien jolie façon...
Voilà un happy sunday evening pour la collec' de Poppy.

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qualice

17 février 2010

nagawika

Au pied du sapin, un tipi avait été déposé pour Eugène. J'étais loin d'imaginer qu'il serait le lieu de tant d'histoires inventées, qu'il serait aussi fédérateur ! Il n'est pas forcément question d'indiens et de carquois ; il est tantôt cuisine, cabane de lecture, école, tantôt salle de projection de DVD...Mais ce soir, il a retrouvé sa fonction originelle, il est tipi et notre petit garçon y a installé son nid pour la nuit et s'y est endormi...

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